👕 332 international matches
☝️ 791 wickets
😎 20 five-wicket hauls
🏆 2010 T20 World Cup winner
✅ Sixth most wickets in Tests (548)
✅ Third most wickets by a pacer in Tests
✅ Best bowling figures in an innings by a pacer in Tests in the 21st century
Happy Birthday to the legendary, @stuartbroad ! 🥳🏴
#stuartbroad#england#cricket
Judith, Veronica, Ann... Ces femmes font partie des quelque 250 000 Anglaises à avoir été séparées de leurs bébés nés hors mariage. Ces abandons, effectués sous la pression intense des institutions et de la société entre les années 1950 et 1980, ont bouleversé leurs vies et, souvent, celles de leurs enfants. « Nous n’avions pas le choix, confirme Judy Baker. On n’arrêtait pas de nous dire qu’il fallait le faire pour le bien du bébé, qu’il serait traité de bâtard si on le gardait, qu’on ne pourrait jamais se marier, qu’il aurait de superbes parents adoptifs, des opportunités qu’on ne pourrait jamais lui offrir. Mes parents, qui étaient pourtant très aimants, n’ont rien dit, car ils voulaient me protéger des préjugés. » Un préjudice pour lequel certaines réclament des excuses que leur pays – où le sujet reste tabou – s’est toujours refusé à présenter. Mais les prochaines conclusions de l’enquête menée par le Parlement britannique feront peut-être enfin bouger les lignes. Retrouvez notre article en cliquant sur le lien linkin.bio de notre profil.
1. Veronica Smith. Derrière elle une photo de son petit-enfant, né de sa fille, avec laquelle elle a repris contact.
2. Judy Baker montrant la photo de sa fille prise en juin 1968, le jour où elle en a été séparée.
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Photos : Emma Hardy @emmahardy7#PourMLeMagazineDuMonde
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