Le Temps Magazine. Here is one of my latest trip from Erbil to Mosul following the banks of the Tigris river along with Guillaume Perrier expertise and words:
Je salue tes rives, ô Tigre, depuis une terre lointaine/salue-moi en retour/Ô Tigre, rivière de verts jardins/Je salue tes rives, où je cherche à étancher ma soif [...]»
Les vers du grand poète irakien Muhammad Mahdi al-Jawahiri, décédé en 1997, viennent à l’esprit d’Ali Baroodi, lorsqu’on lui demande ce que le Tigre lui inspire. Le fleuve, majestueux, traverse sa ville, la grande cité du nord de l’Irak, ravagée par la guerre contre les djihadistes de Daech. Sur sa rive orientale, la vieille ville, les quartiers où s’est concentrée la bataille finale. En face, la plaine, les nouveaux quartiers et l’université où la vie a repris son cours. Ali Baroodi, enseignant à l’Université de Mossoul, vient souvent y siroter son café au Book Forum, un café littéraire ouvert en 2017. «Le Tigre, avec l’Euphrate, a donné naissance à ce pays, à cette identité, cette terre de Mésopotamie. Mais son histoire récente est un drame», souffle-t-il. @t_letemps . Thanks to @sony.france for the support. #mesopotamia#rivers#tigris#tigrisriver#irak#mosul#climatechange#dryingriver