[VILLA ALBERTINE] Beyond grateful to be part, symbiotically with french writer #MarieNDiaye, of the #VillaAlbertine 2023 residents. Thank you infinitely to the jury, the @villa.albertine team, our lucky stars, and our cherished partners @lafilature_sn, @galeriechristophegaillard & @editions_gallimard ✨
We will travel to and around #LosAngeles next spring to dream a new project - at the intersection of opera, film, performance, litterature, influenced by our newly acquired practice of cognitive transe (🤍 @corinesombrun) - and a common childhood memory. Vive Albertine ! 🏜
[RENCONTRE] Rendez-vous mercredi 1er juin à 20h à la @gaitelyrique :
"Pratiques et pensées de la métamorphose" : rencontre avec Smith modérée par @ingridluquetgad.
Une proposition @lefresnoy - Studio National des Arts Contemporains dans le cadre de la série "Portfolio" - nouvelles écritures et expériences immersives. Merci à @annatardivel 🫶🏻
Gratuit sur réservation.
"Artiste interdisciplinaire, Smith performe sa vision du monde par le corps, la fiction et un travail plastique. Son corps fait œuvre autant que son œuvre fait corps. Smith explore les états transitoires à l’intersection de l’art, de la fiction et de la science. Ses œuvres, empreintes de mythologies, proposent un voyage entre les genres, les états physiques et psychiques, les temporalités ou encore entre notre monde et le cosmos. Il invente, à travers la photographie, la vidéo, la spéculation et une grande dose d’indisciplinarité, une zone à rêver qu’il renouvelle et enrichit sans cesse. Formé à @ensp.arles puis au Fresnoy - Studio national des arts contemporains, Smith mobilise également les sciences et la philosophie dans son travail pour formuler une interprétation du monde, faite d’interstices, de troubles et de métamorphoses. Il n’hésite pas à mettre son corps en scène pour performer sa pensée.
Dans son installation C19A280 (Agnès), Smith explore le genre à travers les biotechnologies et la prise d’hormones de synthèse. Depuis #Spectographies, il vit avec une puce #RFID implantée sous sa peau pour ressentir la chaleur des visiteurs et visiteuses qui s’approchent de son installation - s’attachant à questionner la matérialité des corps. Son récent projet collaboratif #Désidération dresse le constat d’un monde en perdition, bientôt privé de ses étoiles qui nous servent pourtant de guides et de repères. On y découvre une nouvelle sensibilité, où les météorites constituent le lien entre le passé et l’avenir, la terre et le ciel, l’art et la science, l’humain et le non-humain, la mélancolie et le désir."
🔥 @galeriechristophegaillard@modds.photo@galerie_c@nadegepiton@audreybazinpro