Ready-to-be-destroyed.
Ouverte et malléable, l’œuvre ne procède à aucune mise à distance entre elle et son public, qui est invité à intervenir directement sur sa surface. Les traces qui en résultent rappellent les graffitis de l’espace urbain marquant à la fois la présence et l’absence des corps dont elles sont les empreintes.
Open and malleable, the work places no distance between itself and the visitor, who is invited to intervene directly on its surface. The resulting traces are reminiscent of urban graffiti and form a palimpsest of heterogeneous signs marking both the presence and the absence of the bodies of whom they are the traces.
Rudolf Stingel, Untitled, 2001